Les méandres de nos occupations,
Et le temps qui passe,
Qui passe,
Qui passe.
L' horloge continuelle,
Des jours, et des nuits,
Des soirs puis des matins,
Et le temps qui passe,
Qui passe,
Qui passe.
Et mon corps endolori,
De trop de ferveur,
De trop de croyance,
De trop y croire,
A ce temps qui passe
Qui passe,
Qui passe.
J' ai attendu, j' ai espéré,
J' ai cru...
Un peu, beaucoup,
A la folie...
Et la complexité de la vie,
Les méandres de nos occupations,
Ont repris le dessus,
Et m'ont clouée là, sur place.
La plume en l'air, et les yeux dans le vague,
Muette a tout ces mots, qui devraient pourtant sortir,
Et le temps qui passe,
Qui passe ,
Qui passe.
Je retiens des mots,
Je retiens des larmes,
Je retiens des espoirs,
Et, par peur de les voir s échouer,
Je fuis les textes, les explications, et les sentiments.
Chaque phrase qui est là, sur cette page blanche,
C 'est un peu de moi.
De mon espoir qui s 'évapore en le couchant sur le clavier,
Alors j' attend...
Que le temps passe, passe, passe.
Pour conjurer le sort,
Écarter le mauvais oeil,
Et assurer la bonne fortune.
Bientôt, des nouvelles, grandes ou moins grande,
Bonnes ou moins bonnes,
Changements radicaux ou pas,
Les choses évolueront...
Et pendant ce temps le temps passe...
Passe... Passe...
Sur ma vie et mes mots qui
restent en suspens...
restent en suspens...
Le temps qui passe comme une bulle de savon
RépondreSupprimerqui s’élève et jamais ne retombe,
mais qui soudain éclate, seule, dans l'ombre
et ne laisse que quelques embruns posés sur notre front,
le temps qui passe et l'inspiration qui déserte,
la feuille blanche comme un témoignage d'échec
comme toi, le stylo en l'air, alerte,
pour attraper au vol une idée qu'on dissèque
Je ne suis pas aussi douée que toi en poème,
mais l'amour des mots est le même.
Je passerai te lire en bohème,
au plaisir de se croiser,
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